Un client en recouvrement est un client qui revient

Un client mis en recouvrement n'est pas un client perdu

Vous hésitez à mettre vos clients en recouvrement de peur de les perdre définitivement ? Cette inquiétude est tout à fait naturelle, mais laissez-nous vous expliquer pourquoi cela n’est pas aussi risqué que vous le pensez.

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Osez relancer vos clients en retard.

Cash is king ! Et pourtant, on a parfois l'impression que faire rentrer l'argent dehors n'est pas une priorité pour certaines entreprises. Jusqu'au jour où les difficultés financières se font trop pressantes, au risque de mettre en péril la survie même de la société. Quelles sont les raisons évoquées pour ne pas relancer des clients en retard pour le paiement des factures ? Et comment faire pour que la culture du cash reprenne une place centrale ?

Pourquoi et comment rédiger une Mise en Demeure?

Est-il indispensable de faire une mise en demeure avant de transmettre un impayé en recouvrement ?

Peut-on vendre à un client en redressement judiciaire ?

En 2023, la tendance est à la hausse pour les défaillances d'entreprises. Mais une société en sauvegarde ou en redressement judiciaire n'est pas systématiquement condamnée à la liquidation, et il est possible d'initier et de conserver des relations commerciales. Des précautions doivent cependant être prises. Faisons le point sur ce qu'il faut faire pour travailler avec une entreprise, après le jugement de sauvegarde ou de redressement judiciaire.

Pourquoi déclarer sa créance quand un client est en redressement ou liquidation judiciaire ?

L'année 2022 a vu une hausse des défaillances d'entreprises, et la tendance devrait se poursuivre en 2023. Les statistiques montrent que, en majorité, les dépôts de bilan se terminent en liquidation judiciaire, surtout pour les petites entreprises, et que les chances de récupérer son argent sont minimes dans ce cas. Minimes, mais pas nulles ! Voilà pourquoi il faut déclarer sa créance au mandataire judiciaire.

Et 1 et 2… et la 3eme échéance ne passe pas.

Le paiement fractionné en 3 fois se développe très fortement depuis quelques années : les fintechs spécialisées, ou les filiales bancaires, facilitent l'intégration de ce service dans les sites de e-commerce. Les résultats sont très satisfaisants pour les vendeurs, qui observent une hausse du panier moyen, et une meilleure fidélisation des clients.

Risques et opportunités pour 2023

« Les emmerdes, ça volent toujours en escadrille » disait un ancien Président de la République. Cependant, toutes les catastrophes annoncées pour 2023, et qui font les choux gras de la presse, ne se produiront pas ! Il y a des risques, mais aussi des opportunités. A chacun de composer avec les uns pour mieux saisir les autres.

Passer à l'action pour recouvrer vos impayés

Les 4 bonnes raisons de confier à un partenaire le recouvrement de vos impayés

Economie de coûts, expertise, focalisation sur son métier, avantage psychologique : voici les 4 raisons qui justifient de s'adresser à un cabinet de recouvrement de créances pour obtenir le paiement de vos impayés.

Contacter ses débiteurs sur les réseaux sociaux

Contacter les débiteurs par les réseaux sociaux : une méthode efficace

En complément des outils classiques que sont le courrier, le téléphone et l'e.mail, l'utilisation des réseaux sociaux est efficace pour contacter des débiteurs silencieux, et obtenir le recouvrement.

Fidélité ds collaborateur au Cabinet d'Ormane

Fidélité des collaborateurs et confiance des clients

Les collaborateurs et les clients sont des parties prenantes essentielles pour une entreprise : rien n'est possible sans eux. Au CABINET D'ORMANE, nous sommes fiers d'avoir des collaborateurs présents dans l'entreprise depuis des dizaines d'années, ainsi que des clients qui nous transmettent des dossiers d'impayés depuis plus de 40 ans. La confiance de nos clients est à mettre en regard de la fidélité de nos salariés

La taxe Gafa est payée par les entreprises françaises, pas par Google

Qui paye la taxe GAFA ? C’est vous !

Notre ministre des finances se félicite du rendement de la « taxe GAFA », censée imposer les Facebook, Amazon et autres Google sur leurs services facturés en France depuis Dublin ou Luxembourg. Le budget 2023 prévoit en effet 670 m € pour cet impôt. Mais qui paye vraiment la taxe GAFA ? La réalité est que Google, Amazon et Facebook la refacturent à leurs clients !

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