Welcome back ! à tous les professionnels qui étaient fermés

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  • Alexandre Dormane

Avec la fin des restrictions, c’est toute l’économie présentielle qui reprend son activité :

Restaurants, bars, salles de spectacles et lieux de culture, salles de sport, compétitions sportives…

Tous ces lieux de vie accueillent à nouveau leurs clients, ce qui est leur raison d’être. A la suite de la réouverture, les aides publiques vont progressivement être débranchées.
Quelles conséquences sur les finances des entreprises concernées ? Il y a du positif et du négatif !

1. L’économie présentielle redémarre, enfin !

Nous pouvons à nouveau profiter de tout ce qui fait le charme et l’agrément de la vie quotidienne, tant personnelle que professionnelle, sans être contraint par les multiples restrictions.
L’économie présentielle, c’est une part importante de l’activité de services. Au-delà de la relation directe entre les entreprises concernées et leurs clients – consommateurs, c’est toute la chaîne de fournisseurs qui redémarre également. Il s’agit des fournisseurs de denrées alimentaires pour les restaurants, par exemple, mais aussi de tous les prestataires de services : équipements, entretien, réparations, informatique et télécoms, publicité, communication. Pour une large part, ces activités sont assurées par des PME-TPE, fragilisées par la crise, dont certaines auront du mal à survivre. Le processus de destruction créatrice sera à l’œuvre de façon accélérée, avec son lot de défaillances, et de création de nouvelles entreprises.

2. Quelles conséquences sur les finances ?

Le point important à envisager est que la reprise d’activité ne se conjugue pas nécessairement avec une amélioration de la trésorerie.
Un restaurant va faire du chiffre d’affaires, tandis que ses dépenses de personnel vont augmenter avec la fin du chômage partiel, et qu’il va payer ses fournisseurs. Il recommencera aussi à payer la TVA. Le restaurateur devra donc gérer avec attention sa trésorerie.
Pour les fournisseurs en amont, la hausse de l’activité va s’accompagner d’une augmentation du besoin en fonds de roulement : la hausse du compte clients va être plus importante que celle du compte fournisseurs, d’où des besoins accrus de trésorerie, alors que des dépenses supplémentaires se mettent en place, telles que le plan de règlement des dettes URSSAF et retraite, voire le remboursement des PGE.

3. Besoin de trésorerie et gestion des impayés.

Dans ces activités présentielles, les clients du CABINET D’ORMANE reviennent. Les salles de sport, par exemple, nous téléphonent à nouveau, pour le recouvrement de leurs impayés, parfois antérieurs à la crise.
Pour toute la chaîne d’activité, il importe de ne pas se laisser gagner par l’euphorie du redémarrage, et de bien gérer ses finances. Entre les facturations envoyées aux clients, qui ne payent pas tout de suite, et les fournisseurs qui réclame leur dû, parfois ancien, on a vite fait de se retrouver avec une crise de trésorerie mal anticipée, surtout si les banques sont prudentes pour accorder des crédits supplémentaires.
Alors que l’attention des entreprises est focalisée, à juste titre, sur l’activité commerciale et la relation avec les clients, le suivi rigoureux des finances est essentiel, surtout si cela a été en partie laissé de côté pendant la crise. Historiquement, les factures qui sont transmises en recouvrement au CABINET D’ORMANE ont une ancienneté de 6 à 12 mois en moyenne. Nous recommandons de raccourcir ce délai, pour ne pas laisser les comptes clients enfler et les impayés s’accumuler, au risque de mettre en péril la pérennité de l’entreprise. Le CABINET D’ORMANE a bien traversé la crise, avec une baisse très limitée de son activité. Plus que jamais, il est présent au service de ses clients pour les accompagner dans cette phase enthousiasmante mais délicate du redémarrage de l’activité économique.

Avec le CABINET D’ORMANE, pour récupérer vos impayés, c’est maintenant.

Se faire payer, c’est juste